Le management de l’énergie représente un axe stratégique majeur des démarches RSE de nos jours. Face aux défis climatiques et à la hausse des coûts énergétiques, les entreprises doivent repenser leur approche énergétique de manière globale. Cette transformation nécessite une intégration méthodique du volet énergétique dans la politique RSE, alliant performance environnementale et efficacité opérationnelle. La mise en place d’une stratégie énergétique responsable devient un levier essentiel pour répondre aux attentes des parties prenantes et renforcer la compétitivité de l’entreprise.
🔦 Lumière sur les thèmes abordés dans cet article
Les fondamentaux du management de l’énergie en RSE
Qu’est-ce qu’une démarche RSE intégrant l’énergie ?
Une démarche RSE intégrant l’énergie représente une approche globale qui associe maîtrise énergétique et responsabilité sociétale. Cette stratégie s’articule autour d’objectifs mesurables : réduction des émissions carbone, optimisation des ressources et amélioration de l’efficacité opérationnelle.
L’expérience montre qu’une telle démarche génère des bénéfices concrets : baisse des coûts énergétiques, renforcement de l’image de marque et mobilisation des équipes autour d’un projet fédérateur. Chez Capitole Energie, cette vision se traduit par des actions concrètes comme l’alimentation des locaux en énergie 100% renouvelable via des certificats de Garanties d’Origine.
La réussite d’une telle approche repose sur trois facteurs clés : l’engagement de la direction, la formation continue des collaborateurs et la mise en place d’indicateurs de suivi pertinents.
Les piliers essentiels de la RSE énergétique
Une stratégie RSE énergétique repose sur quatre piliers fondamentaux : la réduction de l’empreinte carbone, l’optimisation des ressources, l’engagement des parties prenantes et la transparence des pratiques.
La maîtrise des consommations s’accompagne d’une politique d’achats responsables, privilégiant les fournisseurs éco-responsables et les solutions innovantes. L’analyse du cycle de vie des équipements permet d’identifier les leviers d’amélioration majeurs.
La mise en place d’une gouvernance de l’organisation dédiée garantit un suivi rigoureux des performances énergétiques. Un système de management structuré assure la pérennité des actions et leur amélioration continue. Les indicateurs de performance établis permettent d’évaluer précisément les progrès réalisés.
Le cadre réglementaire du management énergétique
La loi DDADUE du 30 avril 2025 renforce les exigences en matière de gestion énergétique. Les entreprises doivent désormais réduire leur consommation annuelle de 1,9% par rapport à 2021. Cette nouvelle réglementation s’accompagne d’un système de management certifié ISO 50001 pour les structures dépassant 23,6 GWh/an.
Mis en vigueur dans le cadre de la loi ELAN, le décret tertiaire, également connu sous l’appellation de Dispositif Eco-Énergie Tertiaire (DEET), impose aux entreprises opérant dans des bâtiments destinés aux activités tertiaires de plus de 1000 m² la mise en œuvre de mesures énergétiques visant à réaliser des économies d’énergie.
La plateforme OPERAT centralise les déclarations de consommation, permettant un suivi précis des objectifs fixés par le décret tertiaire : -40% d’ici 2030 et -60% à l’horizon 2050.
Développement durable et management énergétique
Les objectifs environnementaux à atteindre
La transition vers une économie décarbonée exige des entreprises qu’elles fixent des objectifs mesurables et ambitieux. Au-delà des simples déclarations d’intention, les organisations adoptent une approche pragmatique basée sur des cibles chiffrées.
Le premier axe concerne la neutralité carbone, avec une trajectoire de décarbonation progressive sur la période 2025-2035. Les entreprises s’engagent notamment sur la rénovation énergétique de leur parc immobilier et l’électrification de leur flotte de véhicules.
Un second volet porte sur la valorisation des ressources naturelles. Les sociétés mettent en place des programmes de recyclage et privilégient les matériaux biosourcés dans leurs achats. L’économie circulaire devient un levier majeur pour minimiser l’utilisation des matières premières.
L’impact sur la performance globale
Un management énergétique efficace génère des résultats tangibles sur la rentabilité des entreprises. La maîtrise énergétique renforce également l’attractivité commerciale. Selon plusieurs études, les acheteurs professionnels privilégient les fournisseurs démontrant une excellence environnementale.
Au-delà des aspects financiers, cette démarche stimule l’innovation. Les entreprises qui investissent dans leur performance énergétique développent des solutions créatives qui dynamisent leur productivité.
Les normes et certifications énergétiques
La norme ISO 50001 constitue le référentiel international principal pour structurer une démarche de management énergétique. Cette certification valide la mise en place d’un système complet de gestion et d’amélioration des performances.
D’autres certifications viennent compléter ce dispositif. Le label Haute Performance Énergétique atteste du respect des exigences thermiques dans les bâtiments. La certification BREEAM évalue quant à elle la durabilité globale des constructions selon des critères stricts.
En effet, la certification BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Method) évalue la durabilité globale des constructions selon des critères stricts et variés. Elle prend en compte de nombreux aspects de la durabilité : consommation d’énergie, gestion de l’eau, utilisation des matériaux, gestion des déchets, impact sur l’écologie et la biodiversité, santé et bien-être des occupants, gestion du chantier, pollution, transport, et innovation. L’objectif de cette approche est d’obtenir une vision holistique de la performance environnementale des bâtiments et d’attribuer un niveau de certification (de « Pass » à « Outstanding ») en fonction du respect de ces exigences.
D’autre part, les Certificats d’Économies d’Énergie représentent un mécanisme incitatif qui valorise financièrement les actions d’efficacité énergétique. Ce dispositif permet aux entreprises de bénéficier de primes pour leurs investissements dans des équipements performants.
Stratégie et gouvernance énergétique
Définir une politique énergétique cohérente
La mise en place d’une politique énergétique réussie débute par un alignement stratégique avec les valeurs de l’entreprise. Cette démarche s’appuie sur une vision à long terme, déclinée en objectifs précis et mesurables.
L’établissement d’une feuille de route détaillée facilite la transition vers un modèle énergétique plus vertueux. Cette planification inclut des actions concrètes comme la rénovation du parc immobilier, l’optimisation des process industriels ou le déploiement de solutions de monitoring.
Un budget dédié garantit la réalisation des projets prioritaires. La nomination d’un responsable énergie assure le bon déploiement des initiatives et leur suivi dans le temps. Le choix de partenaires qualifiés accélère la transformation énergétique de l’organisation.
Structurer la gouvernance du projet
La mise en place d’une structure de pilotage garantit le succès des initiatives RSE. Un comité dédié, réunissant représentants des différents départements, assure la cohérence des actions et le respect des objectifs fixés.
L’établissement d’une charte RSE définit les rôles et responsabilités de chaque acteur. Cette organisation matricielle favorise la prise de décision et accélère le déploiement des solutions énergétiques innovantes.
La nomination d’ambassadeurs RSE dans chaque service renforce la dynamique collective. Ces relais de terrain sensibilisent leurs équipes aux enjeux énergétiques et remontent les bonnes pratiques. Un tableau de bord mensuel permet de suivre l’avancement des projets et d’ajuster la trajectoire si nécessaire.
Mobiliser les parties prenantes
La réussite d’une démarche énergétique RSE passe par une stratégie d’engagement adaptée à chaque type d’acteur. Les collaborateurs sont sensibilisés via des ateliers pratiques et des challenges d’éco-gestes. Les partenaires commerciaux reçoivent une communication transparente sur les objectifs environnementaux.
Un programme de co-construction permet d’enrichir les projets énergétiques. Les équipes opérationnelles participent aux audits de performance, tandis que les fournisseurs sont accompagnés dans l’optimisation de leur consommation d’énergie. Cette approche renforce l’adhésion collective aux objectifs fixés.
La création d’un réseau d’ambassadeurs énergétiques accélère le déploiement des bonnes pratiques. Ces référents, formés aux enjeux du développement durable, animent des groupes de travail et valorisent les succès obtenus auprès de la communauté.
Plan d’action pour le management de l’énergie
Établir un diagnostic énergétique initial
Un diagnostic énergétique rigoureux commence par une cartographie exhaustive des flux énergétiques. Cette analyse méticuleuse permet d’identifier les postes les plus consommateurs et de quantifier précisément les pertes thermiques.
L’utilisation d’outils de mesure sophistiqués révèle les zones critiques : caméras thermiques pour détecter les déperditions, analyseurs de réseaux pour évaluer la qualité de l’électricité. Les données collectées alimentent un tableau de bord qui hiérarchise les actions selon leur retour sur investissement.
La réalisation d’un bilan carbone complet vient enrichir cette évaluation initiale. Cette méthodologie standardisée mesure l’empreinte environnementale globale et pose les bases d’un plan d’amélioration chiffré.
Définir des indicateurs de performance
L’établissement de mesures clés de performance permet d’évaluer concrètement l’impact des actions énergétiques. La réduction des émissions de CO2 par unité produite constitue un premier critère par exemple.
Le taux d’utilisation des énergies renouvelables et l’intensité énergétique des activités forment deux autres paramètres essentiels.
Un système de notation à plusieurs niveaux évalue l’efficacité des initiatives : performances techniques, retours sur investissement et bénéfices environnementaux.
Planifier les actions prioritaires
La planification des actions énergétiques requiert une méthodologie structurée pour maximiser leur impact. Une matrice de décision permet de hiérarchiser les initiatives selon leur faisabilité technique et leur rentabilité.
Un calendrier détaillé établit le séquençage optimal des interventions. Les projets à gains rapides lancent la dynamique, tandis que les transformations plus complexes s’échelonnent sur plusieurs années.
La création d’un comité de pilotage garantit le respect des échéances. Cette instance valide les étapes clés et ajuste la feuille de route selon les résultats obtenus. Un tableau de suivi mensuel visualise l’avancement des chantiers et anticipe les éventuels blocages.
Allouer les ressources nécessaires
L’attribution efficace des moyens passe par une budgétisation précise des investissements énergétiques. Un plan de financement détaillé répartit les budgets entre modernisation des équipements, formation des équipes et outils de monitoring.
La mobilisation des ressources humaines constitue un facteur clé. Une équipe dédiée supervise le déploiement des projets, tandis que des experts externes apportent leur savoir-faire technique. Les responsables opérationnels bénéficient d’une enveloppe spécifique pour mener leurs actions.
Un catalogue des équipements et technologies disponibles permet d’optimiser l’utilisation des ressources matérielles.
Solutions concrètes pour la transition énergétique
Optimisation des consommations énergétiques
La mise en place d’une stratégie d’optimisation énergétique commence par l’analyse des données de consommation. Un monitoring permanent permet d’identifier les pics de consommation et d’adapter les usages en temps réel.
L’automatisation des systèmes de régulation représente un levier majeur. Par exemple, un réseau de capteurs intelligents ajuste automatiquement la température des locaux selon leur occupation, générant des économies substantielles.
Une approche multimodale associe plusieurs techniques d’optimisation :
- Récupération de chaleur sur les process industriels
- Modernisation des systèmes d’éclairage
- Maintenance prédictive des équipements énergivores
La sensibilisation aux bonnes pratiques renforce l’impact de ces dispositifs techniques. Un tableau de bord accessible à tous les collaborateurs visualise les progrès réalisés et stimule leur engagement.
Intégration des énergies renouvelables
L’adoption des énergies renouvelables constitue un pilier fondamental de la transition énergétique des entreprises. Une analyse approfondie du mix énergétique détermine les sources les plus adaptées : photovoltaïque, éolien, biomasse ou géothermie.
Les garanties d’origine certifient la traçabilité de l’électricité verte consommée, renforçant la crédibilité des démarches RSE. Capitole Energie accompagne les entreprises dans la sélection et la négociation avec plus de 20 fournisseurs d’énergie renouvelable.
Un plan d’approvisionnement sur mesure combine différentes solutions : installation de panneaux solaires, contrats d’achat direct auprès de producteurs locaux ou valorisation des déchets en biogaz. Cette diversification garantit une sécurité d’approvisionnement tout en maximisant l’impact environnemental positif.
Digitalisation du suivi énergétique
La transformation numérique révolutionne le monitoring énergétique grâce aux technologies intelligentes. Les plateformes de gestion centralisée permettent une visualisation en temps réel des flux d’énergie, rendant possible une réactivité accrue face aux variations de consommation.
Le déploiement d’objets connectés dans les bâtiments modernise la collecte des données. Ces capteurs IoT transmettent automatiquement les informations vers un tableau de bord unique, facilitant la prise de décision rapide.
L’intelligence artificielle enrichit cette approche en détectant les anomalies et en proposant des ajustements automatiques. Par exemple, les algorithmes prédictifs anticipent les pics de consommation et adaptent proactivement les paramètres des équipements pour réduire l’empreinte carbone.
Suivez, analysez et pilotez facilement la consommation énergétique de vos bâtiments grâce à notre plateforme de management de l’énergie. Soyez certains d’atteindre vos objectifs en matière de consommation d’énergie.
Le rôle du chef de projet RSE énergie
Compétences requises et responsabilités
Un chef de projet RSE énergie maîtrise un double socle de compétences techniques et managériales. Sa connaissance approfondie des enjeux énergétiques s’accompagne d’une expertise en gestion de projets durables et performance globale.
La maîtrise des réglementations environnementales constitue un atout majeur, tout comme sa capacité à analyser les données énergétiques pour optimiser les ressources. Son rôle englobe aussi la gestion des relations avec les fournisseurs d’énergie et la coordination des initiatives vertes.
La dimension relationnelle prend une place centrale dans ses missions. Le chef de projet RSE mobilise les équipes autour des objectifs durables, anime les groupes de travail et valorise les succès collectifs. Sa capacité à vulgariser les enjeux techniques renforce l’adhésion des collaborateurs aux changements.
Coordination des activités énergétiques
La synchronisation des projets énergétiques exige une méthodologie rigoureuse. Un planning détaillé structure les différentes phases d’intervention, du diagnostic initial jusqu’au déploiement des solutions.
La mise en place d’une matrice RACI clarifie les rôles de chaque intervenant. Cette approche garantit une répartition optimale des responsabilités entre les équipes techniques, les experts RSE et les managers opérationnels.
Le chef de projet orchestre la réalisation des audits énergétiques en lien avec les bureaux d’études spécialisés. Son expertise permet d’arbitrer entre les contraintes budgétaires et les objectifs environnementaux fixés par l’organisation.
Reporting et communication des résultats
La valorisation des performances RSE énergétiques repose sur une stratégie de communication multicanale. Un tableau de bord synthétique présente les avancées majeures à travers des indicateurs clés : réduction des émissions carbone, gains énergétiques réalisés, taux d’adoption des bonnes pratiques.
La diffusion des résultats s’adapte aux différents publics. Le rapport annuel RSE détaille les progrès accomplis tandis que les newsletters mensuelles maintiennent une dynamique d’engagement. Les réseaux sociaux relaient les succès marquants et mobilisent la communauté.
Le dialogue avec les parties prenantes s’enrichit grâce aux outils numériques. Une plateforme collaborative centralise les retours d’expérience et suggestions d’amélioration, renforçant l’adhésion collective aux objectifs fixés.
Engagement des collaborateurs
Formation aux bonnes pratiques énergétiques
Un programme de sensibilisation énergétique structuré permet d’ancrer durablement les écogestes dans le quotidien professionnel. Les modules de formation combinent apprentissage théorique et mises en situation concrètes pour une meilleure appropriation.
Des ateliers pratiques démontrent l’impact des actions individuelles : réglage optimal des équipements, maintenance préventive ou détection des dysfonctionnements.
La création d’un réseau d’ambassadeurs énergie décuple l’efficacité du dispositif. Ces collaborateurs, formés aux techniques d’audit énergétique, accompagnent leurs pairs et partagent les retours d’expérience via des sessions mensuelles d’échange.
Animation de la démarche au quotidien
La réussite d’une démarche RSE repose sur une dynamique collective maintenue dans la durée. L’organisation de challenges inter-services stimule l’émulation positive autour des objectifs énergétiques. Un tableau d’affichage digital valorise en temps réel les meilleures performances et initiatives.
Des réunions « flash » hebdomadaires de 15 minutes permettent de partager les bonnes pratiques entre équipes. La mise en place d’une boîte à idées numérique encourage chaque collaborateur à proposer des solutions d’amélioration.
Les rituels RSE s’intègrent naturellement au management : points d’équipe, revues de projets, comités de pilotage. Un système de récompenses reconnaît les contributions remarquables, renforçant la mobilisation sur le long terme.
Valorisation des initiatives internes
La mise en lumière des réussites individuelles et collectives constitue un levier puissant pour stimuler l’engagement RSE. Une newsletter mensuelle dédiée met à l’honneur les collaborateurs ayant développé des solutions innovantes en matière d’efficacité énergétique.
L’organisation de cérémonies trimestrielles permet de saluer les équipes les plus performantes dans leur démarche écoresponsable. Ces moments fédérateurs renforcent le sentiment d’appartenance et valorisent les efforts accomplis.
La création d’une plateforme collaborative interne facilite le partage des expériences réussies entre services. Les collaborateurs y publient leurs initiatives, échangent sur leurs méthodes et inspirent leurs pairs vers l’excellence environnementale.
Mesure et amélioration continue
Suivi des performances énergétiques
La mise en place d’un système de monitoring énergétique garantit une mesure précise des résultats. Les capteurs connectés transmettent en temps réel les données de consommation vers un tableau de bord centralisé, permettant une analyse fine des tendances.
L’automatisation du recueil des données simplifie le calcul des ratios de performance clés : intensité énergétique, taux de couverture renouvelable et empreinte carbone.
La comparaison mensuelle des résultats avec les objectifs fixés permet d’identifier rapidement les déviations et d’ajuster la stratégie. Un système d’alertes notifie automatiquement les responsables techniques dès qu’un seuil critique est dépassé.
Analyse des écarts et actions correctives
La détection rapide des dérives énergétiques nécessite une méthodologie d’analyse structurée. Un diagnostic approfondi permet d’identifier les causes profondes : équipements vieillissants, paramètres mal ajustés ou comportements inadaptés.
La mise en place d’une matrice de priorisation classe les écarts selon leur impact financier et environnemental. Cette approche pragmatique facilite le déploiement d’actions ciblées : maintenance préventive, réglages optimisés ou formation du personnel.
Actualisation du plan d’action
La révision régulière du plan d’action RSE requiert une approche collaborative impliquant toutes les parties prenantes. Un comité de pilotage évalue trimestriellement les résultats obtenus et ajuste la trajectoire selon les évolutions réglementaires et technologiques.
La création d’une boucle d’amélioration continue s’appuie sur des revues de performance mensuelles. Ces sessions permettent d’enrichir le plan initial avec les retours terrain et d’intégrer les nouvelles opportunités identifiées.
Un tableau de bord dynamique centralise les suggestions d’optimisation et facilite leur priorisation. Cette méthode garantit l’adaptation permanente de la stratégie RSE aux mutations du marché de l’énergie et aux attentes des parties prenantes.
L’expertise Capitole Energie pour votre projet RSE
Notre approche du management énergétique
Chez Capitole Energie, le management énergétique s’inscrit dans une vision à 360° de la transition écologique et énergétique des entreprises. Notre méthodologie unique associe expertise technique et accompagnement personnalisé pour maximiser l’impact de votre stratégie d’achat énergie, tout en intégrant des critères ESG à cette dernière.
Notre plateforme de management énergétique centralise vos données de consommation en temps réel. Cette technologie avancée permet d’identifier rapidement les opportunités d’optimisation et de mesurer précisément les résultats obtenus.
L’équipe d’experts Capitole Energie mobilise son savoir-faire pour transformer vos ambitions environnementales en réalités mesurables. Notre réseau de partenaires qualifiés garantit la mise en œuvre réussie de solutions durables adaptées à vos enjeux.
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Notre cabinet de conseil en énergie déploie une gamme complète de services sur mesure pour concrétiser vos ambitions énergétiques. Nous analysons en profondeur vos contrats d’énergie pour identifier les axes d’amélioration prioritaires.
Nos consultants Capitole Energie et nos experts du groupe EPSA, élaborent avec vous un plan d’action pragmatique :
- Optimisation de vos taxes énergie : nous vous aidons à réduire vos coûts énergétiques en activant les mécanismes fiscaux.
- Bilan Carbone : Conformité avec le décret BEGES, la loi Climat & Résilience et la directive CSRD.
- Audit énergétique détaillé : cartographie des flux, analyse des factures, mesures sur site
- Formation des équipes : sensibilisation aux écogestes, montée en compétences techniques
- Mise en place d’outils : tableaux de bord, systèmes de monitoring, alertes automatisées
- Certification ISO 50001 : préparation, documentation, audit blanc
Un responsable de projet dédié coordonne toutes les étapes de votre transformation énergétique, garantissant l’atteinte de vos objectifs dans les délais fixés.
Nos engagements RSE et environnementaux
Notre démarche RSE s’inscrit dans une vision à long terme de la transition écologique. Nos locaux fonctionnent à 100% en énergie renouvelable, démontrant notre volonté d’exemplarité environnementale.
Au quotidien, nos équipes appliquent des pratiques écoresponsables : tri sélectif rigoureux, réduction des impressions et gestion optimisée des ressources. Ces actions concrètes, ancrées dans notre culture d’entreprise, reflètent notre engagement collectif.
Notre certification EcoVadis, obtenue via le groupe EPSA, valide notre performance RSE sur quatre axes : environnement, social, éthique et achats responsables. Nous participons activement à des projets RSE alignés sur nos valeurs, créant une dynamique positive avec l’ensemble de nos partenaires.
L’engagement en mouvement
La responsabilité sociétale n’est pas qu’un concept, c’est une réalité quotidienne. À travers des actions concrètes et collaboratives, nous fédérons nos équipes autour des valeurs qui nous animent.
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FAQ : Vos questions sur le management de l'énergie et la RSE
Que signifie RSE ?
La responsabilité sociale des entreprises (RSE) désigne l’intégration volontaire des enjeux sociaux, environnementaux et économiques dans les activités des entreprises. Elle implique notamment la gestion des émissions de gaz à effet de serre, l’optimisation des conditions de travail et le respect des droits de l’homme. Les entreprises s’engagent également dans des appels d’offres responsables et développent leur mécénat de compétences pour renforcer leur impact positif sur la société.
Quels sont les piliers de la RSE ?
Les piliers de la RSE s’articulent autour de trois axes majeurs :
- Environnemental : gestion des ressources naturelles, réduction de l’impact environnemental et lutte contre le réchauffement climatique
- Social : amélioration des conditions de travail, promotion de l’égalité des chances et maintien de l’équilibre entre la vie professionnelle et personnelle
- Économique : développement de relations durables avec les responsables RSE et les partenaires commerciaux, transparence dans les pratiques commerciales
Qu'est-ce qu'un projet RSE ?
Un projet RSE est une initiative structurée visant à améliorer la performance globale de l’entreprise en matière de développement durable. Il peut inclure des actions comme l’utilisation des transports en commun, la promotion de la loyauté des pratiques ou l’engagement envers l’Union européenne en matière de durabilité. Les projets RSE s’inscrivent dans une démarche globale de secteur d’activité et nécessitent l’implication de toutes les parties prenantes.
Quels sont les enjeux RSE en France ?
En France, les enjeux RSE sont multiples et concernent notamment :
- L’adaptation aux questions relatives aux consommateurs
- La production d’un rapport sociétal détaillé
- Le développement de solutions pour les chargés de projets RSE
- La mise en conformité avec les normes RSE spécifiques au contexte français
- L’intégration de la RSE dans la gouvernance d’entreprise
La RSE est-elle obligatoire ?
La RSE devient progressivement une obligation pour certaines entreprises, notamment à travers la RSO (Responsabilité Sociétale des Organisations). Les entreprises doivent désormais rendre des comptes sur leurs actions en matière de développement durable dans les entreprises et démontrer leur engagement concret à travers des initiatives mesurables.
Comment monter un projet RSE ?
Pour monter un projet RSE efficace, plusieurs étapes sont essentielles :
- Définir une stratégie RSE claire alignée avec les objectifs de l’entreprise
- Identifier les responsables RSE et former une équipe dédiée
- Établir des partenariats avec des fournisseurs éco-responsables
- Mettre en place des indicateurs de mesure pour le suivi des résultats
- Communiquer régulièrement sur les avancées du projet
Qu'est-ce que la RSE en entreprise ?
La RSE en entreprise représente l’ensemble des pratiques mises en place pour contribuer aux enjeux du développement durable. Elle englobe la gestion des ressources naturelles, le respect des droits de l’homme, et l’adoption de pratiques commerciales éthiques. Les entreprises intègrent ces principes dans leur stratégie globale pour créer de la valeur tout en minimisant leur impact environnemental.
Quelle est la définition de la RSE ?
La RSE, ou Responsabilité Sociétale des Entreprises, définit l’engagement volontaire des entreprises à contribuer au développement durable. Elle implique la prise en compte des impacts sociaux et environnementaux dans les activités économiques, notamment à travers :
- La réduction des émissions de gaz
- L’amélioration des conditions de travail
- Le développement de produits responsables
- L’engagement dans des appels d’offres éthiques
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Autrice de cet article
Manon Jammes
Diplômée d’un master à Toulouse School of Management, Manon a développé une solide expérience en marketing digital et communication, notamment comme consultante, avant de rejoindre Capitole Energie en 2023. Aujourd’hui Responsable Communication, elle pilote avec énergie son équipe et les actions qui renforcent notre visibilité, tout en valorisant notre engagement auprès de nos clients et partenaires.
